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S'adressant à des militaires américains stationnés en Grande-Bretagne, juste avant son voyage à Genève, Joseph Biden déclare: « Nous ne recherchons pas de conflit avec la Russie, nous voulons une relation stable et prévisible. Nos pays ont une énorme responsabilité, notamment celle d'assurer la stabilité stratégique et de maintenir les accords de maîtrise des armements »[2],[3].
Quelques jours avant le sommet, Vladimir Poutine nie, dans une interview avec NBC News, la responsabilité de cyberattaques ayant eu lieu auparavant contre les États-Unis. Plus tôt, il avait déclaré que ces accusations du côté occidental étaient une tentative de provoquer un conflit à l'approche du sommet[4].
Le représentant spécial du président de la fédération de Russie sur les affaires de la Syrie Alexandre Lavrentiev[5]
Réunion et thèmes abordés
Les discussions durent trois heures et demie au total[7], ce qui est moins que prévu. Joseph Biden offre au président Poutine une paire de lunettes de soleil sur mesure et une sculpture de cristal représentant un bison[8].
Il y a d'abord une première session en petit comité comprenant aussi Blinken et Lavrov, puis une seconde session avec des participants en plus grand nombre[9].
Il est convenu de commencer les discussions par le thème des armements nucléaires et de la cybersécurité[7],[9],[8].
Après que le président américain Joe Biden a qualifié Vladimir Poutine de « tueur » en mars 2021 et qu'en conséquence Moscou a rappelé son ambassadeur Anatoli Antonov le 17 mars 2021, la décision du retour d'Antonov à Washington est prise au sommet de Genève[10] et de même pour la partie adverse. La question d'Alexeï Navalny n'est pas abordée. Les parties n'informent pas la presse sur la question de savoir si le problème de l'Ukraine a été ou non officiellement traité au cours de ce sommet.
Réactions
Selon la Radio télévision suisse, le sommet est globalement bien accueilli aux États-Unis et en Russie, les échanges qualifiés de « constructifs », même si la rencontre ne débouche pas sur un accord signé par les deux chefs d'État[11].
Réactions aux États-Unis
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Réactions en Russie
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Selon une revue de presse effectuée par le journal suisse Le Temps, le sommet est présenté comme un succès pour Vladimir Poutine[12].
Réactions en Suisse
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Réactions dans d'autres pays
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