Le style de Cármena combine des éléments de musique allemande et de l'opéra italien. Ses plus belles œuvres sont l'ouverture Sybille, écrite et crée à Paris et sa Marche triomphale. Sa Messe (1867) reçoit un accueil critique enthousiaste, vantant les beautés de sa texture, réminiscence de la polyphonie de la renaissance espagnole[5].
Flor de los cielos, zarzuela (1894)
El gran día, zarzuela (1894)
A la fuerza ahorcan, zarzuela (1876)
Sybille, ouverture (1873 ; Paris 1875)
Messe (1867)
Marcha triunfal (Madrid, 1883)
Bibliographie
Ramon Sobrino Sanchez, « Soledad Bengoechea », dans New Grove's Dictionary of Women Composers, Londres, 1994[6].