La Société de développement et de mise en valeur du Parc olympique, nommée plus brièvement Parc olympique, est depuis le [1] une organisation para-gouvernementale voyant à la gestion des installations bâties aux fins des Jeux olympiques de Montréal de 1976. La Société remplace la Régie des installations olympiques (RIO) qui existait depuis 1976[2],[3].
Depuis la fin des jeux olympiques, la RIO et la Société qui lui a succédé en 2020 et qui relève du ministère du Tourisme du Québec, veillent activement à l'exploitation, au développement et à l'entretien de ces installations symboliques qui font partie du patrimoine moderne de Montréal.
Historique
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Le projet de loi 15 prévoyant le remplacement de la RIO par la Société de développement et de mise en valeur du Parc olympique est sanctionnée le pour une application prévue à partir du [4]. Cette loi abroge l'ancienne Loi sur la Régie des installations olympiques[5] et place la société sous la responsabilité du ministre du Tourisme[6].
La Société a pour objet de réaliser la construction, l'aménagement et l'exploitation des installations mobilières et immobilières prévues pour les Jeux olympiques et contenues à l'intérieur du quadrilatère borné par le sud de la rue Sherbrooke, l'ouest de la rue Viau, le nord de l'avenue Pierre de Coubertin et l'est du boulevard Pie-IX, sur le territoire de la Ville de Montréal, à l'exception de l'aréna Maurice-Richard, du Centre Pierre-Charbonneau et de leurs aménagements propres ainsi que des installations du métro[8].
La Tour de Montréal (incluant l'observatoire de la Tour)
Le Centre sportif (qui contient sept bassins), site officiel d'entraînement des athlètes de quatre équipes nationales en sports aquatiques : natation, plongeon, nage synchronisée et water-polo féminin.