L’agent secret de Q.I.A. (QuinPar Intelligence Agency - un centre à New York associé au Pentagone et comprenant des agents mutés de « Sign Gene ») Tom Clerc est sourd comme sa famille depuis plusieurs générations et descendant de Laurent Clerc, figure importante chez les membres de la communauté sourde. Il est vecteur de « SGx29 », une mutation de Sign Gene ultra-puissante, sauf qu’il en a perdu une partie importante de ses pouvoirs pendant le combat avec son propre frère ennemi Jux Clerc, également sourd. Ce dernier appartient à un organisme appelée « 1.8.8.0 » ayant pour mission d’exterminer les porteurs de Sign Gene.
Le chef de Q.I.A. l’envoie avec son collègue Ken Wong à Osaka pour enquêter sur les crimes qui s’avèrent importants. Arrivés là-bas, ils tombent sur un gang japonais et, lors de la bagarre, Tom Clerc retrouve ses pouvoirs qu’il croyait avoir perdus…
Fiche technique
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Hiroshi Vava : Tatsumi Fuwa, le chef du gang japonais
Danny Gong : Ken Wong, le collègue de Tom Clerc au QuinPar Intelligence Agency
Noboru « The Bodyguard » Kurakawa : le garde du corps personnel de Tatsumi Fuwa
Production
À l’origine, Sign Gene est un projet de court métrage mais il suscite un tel intérêt, avec des personnes volontaires, que cela motive le réalisateur Emilio Insolera à réécrire le scénario pour en faire un long métrage[1]. En cours d'écriture, il s’inspire des films Grindhouse de Quentin Tarantino et Robert Rodriguez. Pour la distribution des rôles, il cherche des « signeurs » de naissance maîtrisant parfaitement la langue des signes[2],[3].
Sign Gene est présenté le en avant-première mondiale à Milan, avant sa sortie nationale le en Italie où il est distribué par UCI Cinemas[4]. Il sort ensuite ailleurs dans le monde, notamment dans les pays coproducteurs : aux États-Unis le et au Japon le .
Accueil critique
Lucia Bellaspiga du journal italien Avvenire note que le film pourrait attirer « des jeunes générations habituées au langue fulgurante et psychédélique des jeux vidéo ou des dessins animés japonais » (« (…) piacerà ai più giovani, avvezzi al linguaggio rapido e psichedelico dei videogiochi o dei cartoons giapponesi »)[5]
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Sign Gene » (voir la liste des auteurs).
↑ a et b(en) Leonard Broersen, « Emilio Insolera », sur Kansai Scene, (consulté le ).