Serge-Simon Held est un ingénieur, dont la vie est peu renseignée[2]. Il s'est fait connaître grâce à son roman paru en 1931, La Mort du fer, pour lequel il est sélectionné par le jury du prix Goncourt. Pour ne pas compromettre ses chances, Serge-Simon Held refuse, par ailleurs, le prix Maurice-Renard. À la suite de ce refus, le fondateur et président du jury Maurice Renard, décide de mettre fin à ce prix littéraire[3].
Guy Costes et Joseph Altairac (préf. Gérard Klein), Rétrofictions : encyclopédie de la conjecture romanesque rationnelle francophone, de Rabelais à Barjavel, 1532-1951, t. 1 : lettres A à L, t. 2 : lettres M à Z, Amiens / Paris, Encrage / Les Belles Lettres, coll. « Interface » (no 5), , 2458 p. (ISBN978-2-25144-851-0).
Fleur Hopkins-Loféron, « Légitimation, transformations ou reddition du merveilleux-scientifique français : L'histoire du prix Maurice Renard (1922-1932) », HAL (archive ouverte), , p. 1-29 (lire en ligne)
Article paru initialement dans Le Rocambole : bulletin des amis du roman populaire no 85 d'hiver 2018.
(en) Frederick Waage, « The Secret Life of The Death of Iron », dans Chris Baratta, Environmentalism in the Realm of Science Fiction and Fantasy Literature, Cambridge Scholars Publishing, (ISBN9781443835428), p. 11–29.
(en) Frederick Waage, « Science fiction as science: The case of S. S. Held's The Death oh Iron (1931) », dans Philippe Mather et Sylvain Rheault (dir.), Rediscovering French Science-Fiction in Literature, Film and Comics : From Cyrano to Barbarella, Newcastle upon Tyne, Cambridge Scholars Publishing, , 230 p. (ISBN978-1-4438-8676-5), p. 75-85.