Les Sept-Saints Maccabées, sept juifs martyrisés par l'empereur romain Antiochus pour avoir refusé de manger de la viande de porc.
Les sept enfants de sainte Félicité, martyrisés juste avant elle vers 165 à Rome sous le règne de l'empereur Marc Aurèle sont aussi parfois dénommés « Sept-Saints ».
La chapelle des Sept-Saints dans le hameau du même nom, qui dépend de la paroisse, désormais commune, de Vieux-Marché (Côtes-d'Armor) et qui honore les Sept Dormants d'Éphèse.
Une chapelle des Sept-Saints, ainsi qu'un hameau et une fontaine portant le même nom, existent à Erdeven (Morbihan). Elle honore les sept saints fondateurs de la Bretagne.
L'église et la paroisse des Sept-Saints à Brest (Finistère) qui furent la première église et paroisse brestoise, désormais disparues et qui honoraient les Sept-Saints de la Rade de Brest. Elle possédait un tableau représentant les Sept Saints Maccabées, ce qui montre une confusion avec les sept Saints de la Rade de Brest.
L'église Saint-Just-des-Maccabées, à Lyon, qui honore les Sept-saints Maccabées.
Dans le sud-ouest de la France, un groupe de sept Saints, ou sept bienheureux (saints Clair, Justin, Géronce, Sever, Polycarpe, Jean (ou Jonas), Babyle) est honoré dans plusieurs églises comme à Lectoure ou à Sainte-Eulalie près de Bordeaux.
Des pèlerinages des "Sept-Saints" existent aussi dans le monde musulman, par exemple le pèlerinage aux tombeaux des Sept-Saints d'Ech-Chaoun (Maroc)[3].
Notes et références
↑A. Steckert, « La Bulgarie : son passé et sa renaissance », Bulletin de la Société de géographie de Toulouse, (lire en ligne)