Durant la Seconde Guerre mondiale, il perd la vision à l'œil gauche, mais continue sa carrière de sauteur. En 1948 et 1949, il est battu seulement fois dans des compétitions officielles[1].
Il termine notamment huitième à l'épreuve du petit tremplin de saut à ski aux Jeux olympiques de 1952 à Oslo, pour son unique participation aux Jeux. En 1952, il reçoit également la Silbernes Lorbeerblatt.
En 1956, il également qualifié pour les Jeux olympiques, mais ne s'y rend part, endeuillé par la mort de sa mère.
Son petit fils Frank Löffler est aussi sauteur à ski.