Fils de Slimane et de Aoudèche Boudjellab, Saïd Bouali est issu d'une famille militante, qui au début des années 1920, a quitté le village de Beni Ouaggag (région de Haraza dans les Bibans), pour s’installer définitivement à Constantine[1],[2],[3].
Surnom
Saïd Bouali était un amateur de boxe[1], il est surnommée La motta par référence aux boxeur américain de l'époque Jake LaMotta[4].
En 1950, il est condamné à deux ans de prison après la découverte de ses activités secrètes, qu'il passe entre la prison d'EL Koudia à Constantine, la prison d'Annaba et la prison de Serkadji[1]. Après sa libération en 1952, il revient à Constantine et reprend son activité militaire[1].
Le (après le déclenchement de la révolution), Saïd Bouali et un certain nombre d'autres militants ont été arrêtés par les autorités françaises pour interrogatoire et torture, et il a été condamné à quatre ans de prison, il les passa à la prison d'EL Koudia à Constantine, Serkadji, puis Berrouaghia[2].