Samuel Chevallier est scolarisé au collège d'Orbe et au gymnase de Lausanne, où il suit les enseignements du mathématicien et humoriste Henri Roorda. Il étudie ensuite le droit à l'Université de Lausanne, ainsi qu'aux universités de Heidelberg et de Cologne. Il défend une thèse de doctorat en histoire du droit à Lausanne en 1930[1],[2].
De 1934 à 1946, il est secrétaire municipal de la ville de Lausanne[1]. Il exerce également les fonctions de secrétaire de l'Union des communes vaudoises[2]. Il est également journalisteradiophonique, activité qu'il exerce dans un premier temps parallèlement à ses fonctions pour la ville de Lausanne. Il lance ainsi plusieurs émissions pour la Radio suisse romande, parmi lesquelles, dès 1941, une série de sketchs intitulés « Le quart d'heure vaudois »[1].
Il est également l'auteur de plusieurs ouvrages, de pièces radiophoniques comme L'incendie (1949) ou Le silence de la terre créée au Théâtre du Jorat en [3]. Il gagne le prix suisse de la Société des auteurs dramatiques de langue française en 1959[4].
Celle qui aima Jésus, Vevey/Le Kremlin-Bicêtre, Xenia, coll. « Le Coing », , 247 p. (ISBN2-88892-022-0) auteur : Simone et non Samuel Chevallier
Harmonies pastorales : les bovins rustiques, sauvegarde des terroirs, Rennes, Éditions du Gerfaut, , 159 p. (ISBN2-914622-10-4, lire en ligne) ce Samuel Chevallier n'est pas l'auteur de cet ouvrage