Salam Zampaligré est né le à Ouagadougou au Burkina Faso[1]. En 2001, à la suite de ses études en communication, il manifeste sa passion pour le septième art. En 2007, il obtient son diplôme de master professionnel en réalisation fiction de l'Institut Supérieur de l'Image et du Son de Ouagadougou[2]. Il poursuit ensuite son cursus à travers plusieurs stages qui le conduisent au sein de Deutsche Welle en Allemagne, auprès de la Nederlandse Film en Televisie Academie aux Pays-Bas et participe également aux universités d’été de la FEMIS en 2007 et de la Cifap en 2012, en France[3]. En 2023, il reçoit le Prix du film documentaire au 12e festival du cinéma africain à Louxor (Egypte) pour son film Le taxi, le cinéma et moi, un documentaire sur le cinéaste Drissa Touré[4].
Carrière
Salam Zampaligré est membre actif du Collectif Génération Films et l'un des pionniers du Ciné Club FESPACO. En 2001, pour valoriser les œuvres des cinéastes africains, il crée le prix Djibril Diop Mambety pour la Jeunesse[1]. Il a actuellement à son actif plusieurs fictions et documentaires en court- et long-métrage.[non pertinent]
En 2018, il réalise son premier long-métrage intitulé La république des corrompus.