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L’établissement de Lietteville est en émoi. Jeanne Biron reste introuvable alors qu’on vient d’améliorer le système de sécurité. Normand Despins tient à la retrouver, morte ou vivante. Le procès de Caroline Laplante retient l’attention de beaucoup de monde. Cette ex-responsable de la sécurité porte plus que son crime, mais aussi la réputation du Service carcéral canadien. Le témoignage de Brittany Sizzla est déterminant, et les principaux intéressés – Normand Despins et Marie France Caron – sont impatients de voir ce qu’elle va révéler à la Cour. Marie Lamontagne reste très intéressée par tout ce qui se produit à Lietteville. L’évasion de Jeanne et le procès de Caroline l’interpellent. Elle souffre de n’être qu’une spectatrice silencieuse. Les analyses qu’elle entend de ces situations lui font comprendre que personne n’est en mesure d’apporter les nuances nécessaires dans ces dossiers si particuliers. Le personnel de Lietteville, autant les intervenants que le personnel de sécurité, est tenu de redorer l’image de l’établissement. La nomination de Marie-France Caron à un poste dans le ministère de la Sécurité publique lui permet de recroiser l’agent Marco Choquette à quelques occasions. Elle tient à comprendre le rôle qu’il a joué dans son éviction. Dans ces circonstances, la vie en unité devient plus stressante, et aucune détenue n’échappe à la vigilance de l’équipe menée par Normand Despins. Ce dernier pense qu’une présence plus importante d’IPL masculins, notamment au maximum, est une bonne chose pour tout le monde. De nouvelles alliances se tissent entre les détenues. Kim, Shandy, Bétina, Mariposa, Jessica, Henriette, Cameron et sœur Marie-Gisèle devront choisir avec qui elles veulent faire face à une surveillance encore plus intimidante. Deux nouvelles détenues viendront grossir les rangs de celles qui purgent déjà leur peine. Elles vont amener le personnel et les femmes en détention à affronter de nouvelles situations, tant sur le plan des rapports humains que celui des différentes relations d’aide.