La saison s'ouvre sur de grands espoirs pour un club rempli de nouveaux venus, mais tourne rapidement au vinaigre. La formation torontoise perd 21 de ses 31 premiers matchs et une séquence de 11 victoires consécutives en juin est insuffisante pour renverser la vapeur[1]. Les Blue Jays sont l'une des grandes déceptions de l'année 2013[2],[3],[4]. Toronto remporte un match de plus qu'en 2012 mais glisse du 4e au 5e rang de la division Est de la Ligue américaine et, avec 74 victoires contre 88 défaites, une saison gagnante leur échappe pour une 3e année de suite.
Les Blue Jays amorcent bien leur saison 2012 et, au début juin, se maintiennent à deux ou trois victoires du premier rang de leur division[5]. Mais la saison déraille lorsque, en l'espace de 4 jours en juin, ils perdent pour cause de blessures les lanceurs partantsKyle Drabek, Drew Hutchison et Brandon Morrow[6]. Leur frappeur étoile José Bautista, déjà sur la liste des blessés en juin, y retourne en août et ne revient plus de la saison[7]. Toronto termine quatrième dans la division Est de la Ligue américaine avec 73 victoires et 89 défaites.
Intersaison
Le poste de manager des Blue Jays devient vacant le lorsque John Farrell, qui avait dirigé le club pendant deux saisons, accepte un poste similaire chez les Red Sox de Boston[8]. Le , John Gibbons, qui avait dirigé l'équipe de 2004 jusqu'à son congédiement en 2008, est nommé à ce poste pour une seconde fois[9].
La saison régulière des Blue Jays se déroule du 2 avril au [13] et prévoit 162 parties. Le premier match est disputé à Toronto face aux Indians de Cleveland.
Avril
: José Reyes se blesse à la cheville en volant le deuxième but contre Kansas City et se retrouve à l'écart du jeu pour une période de un à trois mois[14].
Juin
11 au : Les Blue Jays égalent un record d'équipe établi en 1987 et 1998 en remportant 11 victoires de suite[15].