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Saint Derrien aurait été un compagnon de saint Néventer[2] et les deux chevaliers, originaires de l'île de Bretagne (Grande-Bretagne actuelle), rentrant de Terre sainte, auraient repêché le comte Élorn après sa tentative de suicide dans le Dour Doun (ce fleuve côtier a pris par la suite le nom d'Élorn)[3] et sauvé son fils Riok, alors âgé de 2 ans, des griffes d'un dragon. La légende prétend que Derrien usa de son étole pour amener le monstre, un dragon, sur la côte de la Manche à Pontusval, près de Plounéour-Trez où il le fit se noyer[4], mais Maxence sauva in extremis le dragon le destinant à un usage futur, il parait qu'il aurait les traits du monstre célèbre dans un lac d' écosse.
Saint-Derrien, éponyme patron de l’église, statue sur le calvaire
Plougastel-Daoulas : la chapelle Saint-Adrien (confusion probable de culte entre saint Adrien, qui n'a rien à voir avec la Bretagne, c'est un ancien évêque de Canterbury en Angleterre, et saint Derrien en raison de la relative similitude de leurs noms).
Le Drennec : Église paroissiale Saint-Drien, plus connu sous le nom de saint Derien