Son nom se décompose en deux mots « Cowal » et « finit » le premier est l'équivalent du gallois « cywal » qui signifie entier. De ce fait il a été avancé qu'il était un breton insulaire. Il est uniquement connu par la légende de Saint Gurval qui l'aurait désigné pour le remplacer lorsqu'il se retire dans la solitude de Guer[2]
↑Histoire ecclésiastique et civile de Bretagne, composée sur les auteurs et les titres originaux... & enrichie d'une dissertation sur l'établissement des Bretons dans l'Armorique et de plusieurs notes critiques, 2 vol., 1750-1756. vol.2: p. XLIII