Elle se situe dans la région naturelle du Blootland qui se caractérise par les paysages très plats et de nombreux canaux.
Sa superficie est de 5,14 km².
Saint-Pol-sur-Mer est reliée à Lille (80 km) et Paris (300 km) par l'autoroute française A25, au Tunnel sous la Manche via Calais par l'A16/E40, et à Bruxelles par l'A16/E40.
Climat
La station météorologique la plus proche de Saint-Pol-sur-Mer est celle située dans le port[2]. La ville dispose d'un climat dit « tempéré océanique », ce qui implique de nombreuses précipitations et une variation assez faible des températures entre l'hiver et l'été[3].
Relevés de la station météorologique du port 1961-1990[5]
Mois
Janv
Fév
Mars
Avr
Mai
Juin
Juil
Août
Sept
Oct
Nov
Déc
Année
Températures minimales moyennes (°C)
2,2
2,2
3,8
6
9,1
12,1
14,3
14,6
12,8
9,7
5,7
3,3
8
Températures moyennes (°C)
4,3
4,4
6,4
8,6
12
14,8
17
17,4
15,7
12,5
8
5,4
10,5
Températures maximales moyennes (°C)
8,4
9
10,4
12
16,1
18,6
20,9
21,3
19,6
16
11,4
8,6
13,6
Moyennes mensuelles de précipitations (mm)
57,4
42,1
52,1
47,6
46,3
52,4
53,3
48,1
61,6
72,6
81,5
60,6
675,7
Nombre de jours de vent
15,8
10,9
12,1
7,3
5,3
5,5
5,1
5,5
7,4
9,1
9,1
11,7
101,2
Communications
Réseau routier
Saint-Pol-sur-Mer se trouve à proximité de l'A25, elle commence à Petite-Synthe et on y accède depuis l'ouest de Saint-Pol du côté de Fort-Mardyck, l'autoroute permet de rallier Lille et Paris (via l'A1), elle est également proche de l'A16/E40, liant Calais,Boulogne-sur-Mer, et le tunnel sous la Manche, les sorties 272930 desservent Saint-Pol-sur-Mer via Petite-Synthe.
Réseau ferroviaire
Saint-Pol-sur-Mer ne dispose pas de gare, la plus proche étant la gare de Dunkerque. Celle-ci assure des liaisons ferroviaires directes à destination de Paris (à 1 h 35 ou 2 h en TGV, selon les liaisons), Lille (à 35 minutes), Arras et Calais (trois liaisons par jour, sauf les dimanches et fêtes).
Liaison aérienne
L'aérodrome le plus proche est celui de Marck, à côté de Calais. L'aéroport de Lille est quant à lui à une heure de route environ de Saint-Pol.
Saint-Pol-sur-mer au même titre que les autres communes de la communauté urbaine est desservie par le réseau DK'BUS. Les transports en commun sont totalement gratuits dans l'agglomération Dunkerquoise depuis le . Parmi les 20 lignes de bus, 7 lignes desservent Saint-Pol-sur-Mer. Il s'agit des lignes : C2, C4, C4A, C5, 15, 18, et N1.
Ces paysages concernent 23 communes du Nord et du Pas-de-Calais avec trois pôles d’attraction que sont Calais à l'ouest et Dunkerque à l’est et, dans une moindre mesure, Gravelines au centre où se trouve le delta du fleuve côtier l’Aa. On y distingue trois parallèles : la frange côtière avec son cordon dunaire ; l'ancienne route nationale 1 et l'Autoroute A16.
Ces paysages sont composés d’un cordon dunaire de 60 km typique des paysages nordiques et que l’on retrouve aux Pays-Bas et en Belgique. Ce cordon littoral datant du VIIIe siècle s’est constitué durant la dernière transgression marine et joue un rôle de digue en protégeant la plaine maritime de l’invasion de la mer. Sa taille n’excède pas, en largeur, quelques centaines de mètres et, en hauteur, une dizaine de mètres.
Une particularité de ces paysages est la présence de moëre (marais en flamand), point le plus bas du territoire français, avec une altitude de −4 m. leur assèchement est entrepris dès 1619 par 23 moulins à vent qui vont pomper l’eau et l’acheminer vers la mer par des watringues. Ces polders, terres gagnées sur la mer, ainsi constitués sont les plus anciens de l’Europe du Nord.
Les cultures ne représentent que 35 % de ces paysages des dunes de la mer du Nord.
Concernant l'activité humaine, à l’ouest de ces paysages se trouve : la région de Calais, avec le tunnel sous la Manche et l'activité portuaire de Calais tournée vers l’Angleterre ; à l’est, la zone urbaine de Dunkerque et ses installations portuaires et, au centre, la zone de Gravelines avec son port de plaisance et sa centrale nucléaire.
Sur le plan de la biodiversité, on y observe de nombreux déplacements d’oiseaux marins, côtiers ou terrestres ainsi que des phoques veau-marin installés sur les bancs de sable[7].
Histoire
La commune fut créée en 1877 par détachement de la commune de Petite-Synthe (commune aujourd'hui disparue, car fusionnée avec Dunkerque en 1972). Elle doit son nom à l'estaminet qui se trouvait à l'entrée de la ville : « le Saint Pol » ainsi baptisé en mémoire du Chevalierde Saint-Pol-Hécourt, compagnon du fameux corsaire dunkerquois Jean Bart. En 1889 on ajouta « sur Mer », cela avant que Dunkerque n'achète en 1912 les terrains situés en bord de mer pour agrandir son port.
Pendant la première guerre mondiale, Saint-Pol-sur-Mer est en 1917-1918, une des communes dépendant du commandement d'étapes installé à Petite-Synthe puis à Coudekerque-Branche. Un commandement d'étapes est un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front. Saint—Pol-sur-Mer a donc accueilli des troupes à ce titre[8]. En 1917-1918, la commune dépendait également du commandement d'étapes de Téteghem[8].
Le 5 décembre 1917, vers 1 heure, des bombes sont tombées sur Saint-Pol; elles ont fait trois victimes : un militaire en permission, une femme, un petit enfant[9]. Le 6 décembre 1917, nouvelle alerte, des bombes ont atteint un baraquement occupé par le 94e régiment d'infanterie territoriale; elles ont tué 13 personnes et en ont blessé 13 autres[10]. Nouveau bombardement le 12 décembre 1917 vers 19 h : douze engins ont atterri dans les champs ne faisant ni victimes ni dégâts[11].Le 15 décembre 1917, 6 bombes ont été lancées sur la commune[12].
Le 18 décembre 1917, un bombardement aérien a frappé entre 17h 50 et 18h 45 les communes de Saint-Pol-sur-Mer, Petite-Synthe et Fort-Mardyck[13].
Les 21 et 22 janvier 1918, un bombardement aérien a touché Coudekerque-Branche (6 bombes reçues), Malo-les-Bains (3 bombes), Petite-Synthe (1 bombe), Saint-Pol-sur-Mer (5 bombes). À Coudekerque, des voies de la gare de triage, dont celle doublant la voie principale Dunkerque-Hazebrouck, ont été endommagées, un bâtiment touché (vitres brisées), une bombe est tombée dans un champ, une dans le canal de Bergues. Il n'y a pas de victimes. À Malo-les-Bains, les trois bombes sont tombées dans le sable, ni victimes, ni dégâts.
À Petite-Synthe, une bombe tombée dans une rue, ni victimes, ni dégâts. À Saint-Pol-sur-Mer, cinq bombes ont touché la ville, cinq maisons ont été détériorées, aucune victime[14].
Le 26 janvier 1918, bombardement sur l'agglomération dunkerquoise, d'abord terrestre vers 23h30, puis aérien vers 0h25. Le bombardement terrestre a concerné Saint-Pol (un obus de 380 tombé 72 rue de la République, dégâts matériels), et Rosendaël (un obus de 380 tombé sur l'abattoir, dégâts matériels). Le bombardement aérien a vu une bombe larguée sur Malo-les-Bains, (rue de Roubaix, plusieurs automobiles militaires endommagées) et deux torpilles lancées sur Fort-Mardyck, (elles n'ont pas explosé, pas de victimes)[15].
Nouveau bombardement aérien sur Saint-Pol le 29 janvier vers 23h15 mais meurtrier cette fois : dix bombes ont été lancées faisant deux tués cinq blessés et des dégâts matériels[16].
Le , les conseils municipaux de Dunkerque et Saint-Pol-sur-Mer ont délibéré en faveur d'une fusion-association qui créerait une nouvelle entité de 94 187 habitants. Bien que cette procédure ne soit pas encore obligatoire (elle l'est devenue depuis le ), le préfet a exigé un référendum auprès de la population. La consultation a eu lieu le , cette fois sur trois communes, Dunkerque, Saint-Pol-sur-Mer et Fort-Mardyck. Bien que le oui ait recueilli 54 % des suffrages exprimés, il n'a obtenu que 24,25 % des inscrits au lieu des 25 % que requiert la loi, le préfet a donc refusé la fusion.
2010 : à la suite de la décision du Conseil d'État d'annuler l'arrêté du préfet, le projet de fusion est de nouveau à l'ordre du jour[17].
: le préfet ayant autorisé les conseils municipaux à de nouveau statuer sur le sort du projet, les 3 conseils municipaux votent une nouvelle fois en faveur de la fusion-association.
: le préfet ayant pris acte de la volonté des conseils municipaux, il accepte la fusion qui prend effet le [18].
Héraldique
Les blasons de Saint-Pol-sur-Mer : « Écartelé en sautoir : en chef d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules ; à dextre et à senestre, de sinople au lion d'or couronné du même ; en pointe d'or à la lyre de gueules ; un sautoir dentelé de sable brochant de la partition. »
Différences entre dessin et blasonnement : le sautoir du dessin n'est pas dentelé mais engrêlé..
En hommage à Guynemer, la commune a utilisé jusqu'aux années 80 un autre blason : "D'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules mis au premier canton avec un nuage d'argent démarrant du deuxième canton contenant en haut à droite un biplan argent de la guerre 1914/1918 et en bas à gauche une cigogne tenant dans son bec une banderole où est inscrit GUYNEMER et en pointe 5 pales de Vaire sinople séparées de 4 pales d'argent."[19]
Drapeau
La ville de Saint-Pol-sur-Mer a son propre drapeau :
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Pour cette élection également les résultats ne suivent pas les scores nationaux bien que le PS arrive également en tête avec 35,46 %(28,90 %), arrive ensuite la liste du FN avec 24,24 %(9,81 %), 3e le parti communiste avec 7,46, puis les Verts obtiennent 5,85 %(7,41 %), l'UDF recueille 5,59 %(11,96 %), enfin l'UMP obtient 5,52 %(16,64 %)[21]. Les autres listes recueillent moins de 5 %. L'abstention étant de 63 %, ce qui suit est plus élevée que la moyenne nationale de 57,24 %[22].
Saint-Pol-sur-Mer n'a pas suivi la moyenne nationale. En effet les socialistes arrivent en tête en recueillant 23,49 % (nat:16,48 %) des suffrages, second le FN ayant recueilli 16,19 % (6,34 %), arrive ensuite Europe Écologie avec 13,54 % (16,28 %),la liste de l'UMP arrive 4e avec 10,73 % (27,87 %)[23], Les autres ayant moins de 8 %. L'abstention est plus élevée que la moyenne nationale, elle vaut 67,58 %(59,35 %).
Élections présidentielles
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Saint-Pol a moins massivement voté pour Jacques Chirac que la moyenne nationale. Il n'obtient « que » 67,70 %(82,21 %) de ses voix, et donc 32,30 %(17,79 %) pour Jean-Marie Le Pen, l'abstention ayant été de 23,86 %(20,29 %)[24]. À noter que Lionel Jospin recueille au premier tour 16,28 %, Jean-Marie Le Pen obtient 30,29 % et Jacques Chirac est accrédité de 10,91 % des voix. L'abstention étant de 29,92 %[25].
La ville a suivi la moyenne nationale en donnant 54,50 %(53,06%) des voix à Nicolas Sarkozy contre45,50 %(46,94 %) pour Ségolène Royal, l'abstention étant de 23,38 %(16,03 %)[26]
Élections régionales
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Au cours du 1er tour du 21 mars, les Saintpolois ont voté principalement pour 2 listes : celle de Daniel Percheron du PS à 41,05 % (reg: 29,89 %) et celle de Carl Lang du FN à hauteur de 27,18 % (17,94 %), le 3e, le candidat UMP, Jean-Paul Delevoye est largement battu avec 6,38 % (17,27 %). Au soir du second tour, la liste vainqueur à Saint-Pol est celle de Daniel Percheron avec 61,18 % des voix, ce qui est supérieur à la moyenne régionale de 51,84 %, ce qui lui permet d'avoir 73 sièges au conseil régional. Contrairement à Saint-Pol où elle fait un score de 11,71 %, la liste UMP termine seconde avec 28,43 % dans la région, elle obtient ainsi 24 sièges, enfin la liste frontiste performe à Saint-Pol où elle réunit 27,11 % des voix, contre 19,73 % dans le Nord-Pas-de-Calais, ayant 16 sièges[27],[28].
Élection législative
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Le premier tour offre un duel entre le socialiste Jean Le Garrec ayant recueilli 20,91 % (cir:30,45 %)des voix et la frontiste Marion Auffray obtenant 19,42 %(17,89 %), bien que Christian Hutin ait recueilli 36,36 % des suffrages de la ville, il n'est pas au second tour car il ne recueille sur la circonscription que 17,13 %.Lors du second tour, Jean Le Garrec est élu avec 60,79 % (64,19 %) des voix devant son adversaire recueillant 39,21 % (35,91 %). L'abstention ayant été de 49,17 % au second tour contre 41,64 % au premier[29].
Lors du premier tour, seuls les deux candidats du second tour recueillent plus de 8 % des voix, Christian Hutin (DVG) qui obtient 57,95 % (37,08 %) des bulletins et Jacqueline Gabant accréditée de 18,69 % (23,17 %), 47,39 % des Saintpolois étant abstentionnistes. Au second tour, Christian Hutin est élu avec 72,54 % (63,95 %) des suffrages devant Jacqueline Gabant soutenue par 27,46 (36,05 %), le taux d'abstention a été de 46.70 %[30]. On peut remarquer qu'une nouvelle fois, la ville a voté dans des proportions différentes que les autres villes[31].
Élections municipales
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Une fois encore, les municipales saintpoloises opposent très peu de liste, deux cette fois-ci: la liste de gauche de Christian Hutin l'emporte à la majorité absolue au premier tour avec 74,08 % des suffrages contre 25,92 % pour la liste de divers gauche. 34,57 % des Saintpolois ne se sont pas déplacés au urnes[32].
Élections cantonale puis départementales
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À l'issue du premier tour, la socialiste Marie Fabre et la candidate de l'UMP Jacqueline Gabant arrivent en tête avec respectivement 44,81 %(can:48,59 %) des voix et 21,55 % (19,32 %). Arrivent ensuite Marcel Lefevre (Les Verts) à 14,09 % (13,48 %), la frontiste Françoise Coolzaet créditée de 12,88 % des suffrages (11,20 %) et enfin le candidat du PC Fabrice Kharfallah avec 6,68 % des voix (6,54 %). Lors du second tour, Marie Fabre remporte le canton de Dunkerque-Ouest, haut la main, l'élection puisqu'elle recueille 76,60 % des voix dans la ville, et au total 75,01 % dans le canton[33]. L'abstention saintpoloise ayant été au premier tour de 51,21 % et de 64,57 % au second[34], la différence d'abstention entre les deux tours peut s'expliquer que les saintpolois n'aient pas voulu se déplacer uniquement pour les cantonales, en effet lors du premier tour, ils votaient à la fois pour les municipales que pour les cantonales, M.Hutin ayant été élu dès le premier tour, les municipales ne se déroulaient pas le dimanche suivant.
Saint-Pol-sur-Mer a très largement voté contre la constitution européenne puisqu'elle accorde 74,83 % (nat:54,68 %) au « non » et 25,17 % (45,32 %) pour le « oui ». L'abstention ayant été de 36,23 %(30,66 %)[35]
Politique locale
Lors des élections municipales de 2008, Christian Hutin a été élu dès le premier tour avec 100 % des suffrages[36]. Il était à la tête de la seule liste en compétition, unique cas pour une ville de cette importance dans le Nord-Pas-de-Calais[37]. En conséquence, l'intégralité de la liste de Christian Hutin a composé de 2008 à 2014 le conseil municipal de 35 sièges. Sur les 15 766 électeurs, 7 695 se sont exprimés, soit une abstention de 51,19 %. De plus, il y a eu 17,76 % de bulletin blanc. Le maire élu a donc recueilli le soutien de 40,1 % des inscrits. En 2014, il est réélu au deuxième tour avec 50,05% des suffrages exprimés, devant le Front National (25,77%), la liste soutenue par le futur maire de Dunkerque Patrice Vergriete (15,32%) et une liste divers droite (8,86%).
Réélu député en , le maire délégué Christian Huttin démissionne, conformément aux règles limitant le cumul des mandats, de ses fonctions exécutives locales[38].
Fin , Jean-Pierre Clicq, qui fut son premier-adjoint, est élu maire de la commune associée[39].
Saint-Pol-sur-Mer est une commune associée à Dunkerque depuis le , elle dispose donc d'un conseil consultatif présidé par un maire délégué. Les membres de ce conseil siègent également au conseil municipal de Dunkerque.
Liste des maires successifs de la commune avant l'association avec Dunkerque[41],[42]
↑La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
↑ a et bBruno Verheyde, « Christian Hutin et Paul Christophe, députés mais plus maires : La loi, d’un trait, a rompu les unions. Le 14 février 2014, en adoptant définitivement les textes sur le cumul des mandats, les parlementaires ont bouleversé une longue tradition française », La voix du Nord, (lire en ligne, consulté le )« Christian Hutin, maire délégué de Saint-Pol-sur-Mer et vice-président de la CUD, avait anticipé l’application de la loi. « Mes lettres de démission sont prêtes. Je renonce à mes vice-présidences à la CUD et au SIVU… et à mon poste de maire délégué. Pour cette dernière fonction, j’ai demandé que l’on m’accorde un délai supplémentaire, au-delà du délai légal des 30 jours. Car je tiens à inaugurer la piscine intercommunale début juillet ».
↑ a et b« Jean-Pierre Clicq nouveau maire délégué de Saint-Pol-sur-Mer : Sans surprise, Jean-Pierre Clicq, premier adjoint, a été élu ce dimanche matin maire délégué de Saint-Pol-sur-Mer à une confortable majorité. Il succède à Christian Hutin, député, touché par la loi sur le cumul des mandats », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Laurent Decotte et Sébastien Leroy, « Aubry sur le fil, Bruay au RN et autres leçons », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24269, , p. 2-3
↑« Saint-Pol-sur-Mer : Jean-Pierre Clicq succède à Christian Hutin en tant que maire délégué », Le Journal de Montreuil, (lire en ligne, consulté le ).
↑Estelle Jolivet et Bruno Verheyde, « Le maire délégué de Saint-Pol-sur-Mer, Jean-Pierre Clicq, est décédé », La Voix du Nord, (lire en ligne)
↑« Saint-Pol-sur-Mer : après le décès de Jean-Pierre Clicq, le conseil municipal élira un nouveau maire dans les quinze jours », La Voix du Nord, (lire en ligne)
↑Annick Michaud, « Jean-Pierre Clicq, un fidèle pour prendre la relève de Christian Hutin : Réélu député dimanche, Christian Hutin va devoir démissionner de son poste de maire délégué de Saint-Pol-sur-Mer. Son premier adjoint, de l’aventure municipale depuis le début, devrait en toute logique le remplacer », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).