Ashfari participe à des manifestations à Téhéran le et est arrêté près du parc Daneshjoo. Elle est emmenée à la prison de Qarchak puis à la prison d'Evin à Téhéran[4]. Après l'arrestation d'Afshari et d'autres protestants, Amnesty International à Londres publie le une « déclaration publique » exigeant la libération de toutes les personnes arrêtées uniquement pour avoir participé à des manifestations pacifiques[5],[6]. Ashfari est ensuite condamnée à un an de prison avec deux autres femmes, Yasaman Aryani et Azar Heidary[4].
Ashfari est remise en liberté conditionnelle en , après quoi elle continue de protester contre la violation des droits de l'homme par le régime. Ashfari est de nouveau arrêtée au début de et condamnée en août 2019 à 24 ans de prison, dont 15 inconditionnels, pour « propagation de la corruption et de la prostitution en enlevant le hijab », « marche sans voile » et pour « avoir favorisé » la « propagande contre l'État »[7],[8].