Guerre électronique et leurres : ESM Grintek Avitronics, détecteur d’interception + alerte radar ELINT : Mesures de soutien électronique tactique Saab S/UME-100
Rayon d'action
11000 milles marins (20000 km) à 10 nœuds en surface 8000 milles (15000 km) à 10 nœuds au schnorchel 400 milles (740 km) à 4 nœuds (7,4 km/h) en immersion
En juillet 2000, l’Afrique du Sud a signé avec Howaldtswerke-Deutsche Werft (HDW) et Thyssen Nordseewerke un contrat pour la construction de trois sous-marins de type 209/1400. Ces sous-marins remplacent les sous-marins de classe Daphné construits en France (les SAS Spear, SAS Assegaai et SAS Umkhonto) qui ont été mis hors service en 2003. Certains observateurs considèrent que ces bateaux sont les premiers « vrais » sous-marins de la marine sud-africaine, conçus pour être plus à l’aise sous l’eau qu’en surface, contrairement aux submersibles de classe Daphné pour lesquels c’était l’inverse[4].
Historique
Le SAS Charlotte Maxeke est arrivé à Simon's Town le 7 avril 2006[5].
En 2010, il a réalisé un déploiement lors d’ATLASUR VIII, des exercices entre les forces de défense brésiliennes, argentines, uruguayennes et sud-africaines[6].
En 2021, le SAS Charlotte Maxeke était en cours de réaménagement au chantier navalArmscor. Un financement d’un montant de 189 millions de rands aurait été mis à disposition pour assurer l’achèvement du carénage au cours de l’exercice 2023-2424 [7].