La congrégation est née le de l’union des quatre instituts :
Sœurs du Bon-Sauveur de Caen
Sœurs de la Charité de Sainte-Marie d’Angers
Sœurs de Saint-Charles d’Angers
Sœurs de la Sainte-Famille de Nantes.
Sœurs du Bon-Sauveur de Caen, congrégation de droit pontifical fondée en 1730 par une ancienne novice du Bon-Sauveur de Saint-Lô, Anne Le Roy (1692-1781) pour l'enseignement et les soins des malades à domicile, l'institut est approuvé le par Mgrde Luynes et restauré après la Révolution en 1805 par Pierre-François Jamet (1762-1845) qui ajoute les soins psychiatriques et l'enseignement des sourds. Elles absorbent en 1961 le Bon-Sauveur de Saint-Lô[1].
Sœurs du Bon-Sauveur de Saint-Lô, congrégation de droit diocésain fondée le par Élisabeth de Surville pour se consacrer à l'enseignement et aux soins des malades, congrégation reconnue par Mgrde Brienne, évêque de Coutances. Elles fusionnent en 1961 avec le Bon-Sauveur de Caen[2].
Sœurs de la Charité de Sainte-Marie d’Angers, congrégation de droit diocésain fondée en 1679 par Henri Arnauld (1597-1692), évêque d'Angers pour l'hôpital d'Angers[3].
Sœurs hospitalières de Notre-Dame des Sept-Douleurs et de Sainte-Marthe, congrégation de droit diocésaine fondée en 1878 à Amiens par Louise Glavier (1825-1898) en religion Mère Marie des Sept-Douleurs. En 1973, elles s'unissent avec les sœurs de la Charité de Sainte Marie d'Angers[4].
Sœurs de Saint-Charles d’Angers Congrégation de droit diocésain fondée en 1714 à Angers par Anne Jallot. À l'origine pieuse association sous le nom d'école de Charité, elle devient une véritable congrégation de droit diocésain en 1843. Les constitutions sont approuvées par l'évêque d'Angers en 1854[5].
Sœurs de la Sainte-Famille de Grillaud de Nantes Congrégation de droit diocésain fondée à Nantes en 1856 par l'abbé Jean-Marie Laurent (1822-1890) avec l'aide de Virginie Liénard[6].