Elle fusionne les 4 et avec la Gauche ouvrière et paysanne (GOP)[1], ancienne branche maoïste du Parti socialiste unifié, pour former l'Organisation communiste des travailleurs (OCT)[1]. L'OCT, annonce, sans doute de manière triomphaliste, le nombre de 2 000 militants, présents dans 90 villes[1]. Elle publie bientôt un hebdomadaire, L'Étincelle[1]. L'OCT éclate en 1978, perdant plus de la moitié de ses adhérents, en raison de dissensions entre les deux courants sur la tactique d'union à retenir vis-à-vis des réformistes, sur la conception de l'organisation[1], et sur la question du féminisme, représenté en son sein par une « direction nationale femmes »[4].