Des passages de cet article ne sont plus d’actualité ou annoncent des événements désormais passés. Améliorez-le ou discutez-en. Vous pouvez également préciser les sections à actualiser en utilisant {{section à actualiser}}.
Une réserve internationale de ciel étoilé (RICE) est une région où le ciel et l'environnement nocturne sont protégés et présentent des qualités exceptionnelles. Ces régions sont identifiées par un label remis par l'Association internationale Dark Sky[1](IDA). Elles présentent plusieurs intérêts : scientifique, naturel, éducatif ou culturel. Au sein des RICE, des mesures sont prises afin de minimiser la pollution lumineuse et de favoriser l'environnement nocturne.
Jusqu'en 2006, le seul programme visant à souligner les efforts des communautés pour limiter la pollution lumineuse est celui de la Société royale d'astronomie du Canada (SRAC). À cette date, l'Association internationale Dark Sky (IDA) met en place un comité de travail pour définir et encadrer les « réserves internationales de ciel étoilé »[3],[4] et les « parcs internationaux de ciel étoilé »[5], puis plus récemment les « sanctuaires internationaux de ciel étoilé »[6] ainsi que les « communautés internationales de ciel étoilé »[3],[7].
Au Québec
Depuis 2007, le Québec abrite la RICE du Mont-Mégantic, située dans le parc national du Mont-Mégantic, première réserve internationale de ciel étoilé au monde labellisée par l'IDA[8],[9].
En France
En 2024 la France compte cinq réserves internationales de ciel étoilé.
La RICE du pic du Midi de Bigorre, première réserve de ciel étoilé française, a été labellisée en 2013[10]. Elle est co-gérée par la régie du pic du Midi, le parc national des Pyrénées et le syndicat départemental d’énergie 65[11]
En 2020, Niue est la première nation à devenir « sanctuaire international de ciel étoilé »[23],[24], en sus du label « communauté internationale de ciel étoilé »[25].
↑Guillaume Langin, « Le parc naturel de Millevaches devient la nouvelle réserve de ciel étoilé française », Ciel et Espace, (lire en ligne, consulté le ).