↑La vallée d'Yonville, retrouvée sur la carte de Cassini no 25 dénommée Rouen publiée en 1757[1], est une dénomination employée encore à la fin du XIXe siècle mais depuis tombée en désuétude. Il s’agit d'une zone marécageuse à l'ouest de Rouen jouxtant le Cailly. Depuis cette époque, l'urbanisation le canalise et le recouvre[2].
↑Henri Fouquet, Histoire civile, politique et commerciale de Rouen, depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, vol. 2, Rouen, Métérie ; Augé, , 934 p., 2 vol. ; 25 cm (lire en ligne), partie 2, chap. XXVI (« Topographie. Vieux Rouen »), p. 883-884.
↑Edmond Spalikowski, Âmes et aspects de Rouen, Rouen, éditions Maugard, , 208 p., « Rouen, vraie capitale des maisons de bois », p. 32-33.
Yvon Pailhès, Rouen : du passé toujours présent, au passé perdu, Luneray, éditions Bertout, , 230 p. (ISBN2-86743-539-0), « La rue du Renard », p. 174-175
Nicétas Périaux, Dictionnaire indicateur et historique des rues et places de Rouen : revue de ses monuments et de ses établissements publics (reprod. en fac-sim. de l'éd. A. Le Brument, 1870), Brionne, Impr. le Portulan, (réimpr. 1876), XXXI-693 p., 21 cm (OCLC800255, lire en ligne), p. 516-517