Ancien chemin de la commune de Gentilly, connu depuis le début du XVIIe siècle sous le nom de « rue de la Barrière » puis de « rue Payen[1] », la voie est rattachée à la ville de Paris par le décret du sous le nom de « rue de la Glacière » qu'elle prolonge pour arriver à la porte de Gentilly et même dans cette dernière ville ou une rue portait aussi ce nom. La portion extrême de la rue de la Glacière située au-delà de la rue de Tolbiac prend son nom actuel en 1894.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
No 23 : Léon Trotski habita ici lors de son second exil en France[2].
↑Annie Kriegel, « Le dossier de Trotski à la préfecture de Police de Paris », Cahiers du monde russe et soviétique, vol. 4, no 3, juillet-septembre 1963, p. 264-300.