Initialement, il était prévu de relier la rue Simons à la rue Léopold Van Asbroeck mais la construction du complexe de l’ADEPS a modifié l'évolution prévue du quartier de la Corée. La rue n’atteignit finalement qu'un quart de la longueur prévue à l'origine et est restée une rue sans issue.
Le , le collège attribua aux cinq rues du quartier des noms de victimes de la Seconde Guerre mondiale.