Rue Cartier-Bresson

Rue Cartier-Bresson
Image illustrative de l’article Rue Cartier-Bresson
La rue Cartier-Bresson
Situation
Coordonnées 48° 54′ 03″ nord, 2° 24′ 12″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Ville Pantin
Quartier(s) Quatre-Chemins
Début Rue Gabrielle-Josserand
Fin Avenue du Général-Leclerc à Pantin
Morphologie
Type Rue
Histoire
Anciens noms Rue du Chemin-Vert
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue Cartier-Bresson
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
(Voir situation sur carte : Île-de-France)
Rue Cartier-Bresson
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La rue Cartier-Bresson est une voie de communication de Pantin[1].

Situation et accès

Cette rue croise notamment la rue Denis-Papin, et la rue Jacques-Cottin qui était un des fermiers de la ferme de Rouvray[2].

Origine du nom

Plaque de la rue.

Elle rend hommage aux Cartier-Bresson, famille basée à Pantin au XIXe siècle[3].

Historique

La rue en mars 2021.

À cet endroit se trouvaient les terres de la ferme du Rouvray, qui appartenait au prieuré Saint-Martin-des-Champs[4]. L'emplacement de cette ferme serait peut-être sur la darse du fond de Rouvray.

Elle s'appelait rue du Chemin-Vert, du nom d'un lieu-dit, et traversait encore un champ[5] lorsqu'à cet emplacement, en 1869, le criminel Jean-Baptiste Troppmann commit ses forfaits, connus sous le nom de « massacre de Pantin »[6].

Le quartier a été loti à partir de 1873, pour prendre sa physionomie actuelle.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

Notes et références

  1. ↑ La rue Cartier-Bresson à la rue Denis-Papin
  2. ↑ Dictionnaire ou traité de la police générale des villes, bourgs, paroisses & seigneuries de la campagne, Edme de La Poix de Fréminville, 1769
  3. ↑ La famille Cartier-Bresson au fil de l'Histoire
  4. ↑ "Plan des terres de la ferme de Rouvray appartenans en toute justice au prieuré royal de Saint-martin des Champs à Paris"
  5. ↑ État des communes à la fin du XIXe siècle. Pantin : notice historique et renseignements administratifs / publié sous les auspices du Conseil général (par Fernand Bournon ; Département de la Seine. Direction des affaires départementales, 1901
  6. ↑ Véronique Gramfort, « Les crimes de Pantin : quand Troppmann défrayait la chronique », Romantisme. Revue du XIXe siècle, SEDES, no 97 « Le fait divers »,‎ , p. 18 (lire en ligne).