En plus d'être l'auteur d'une étude de référence sur l'histoire du mouvement anarchiste aux Pays-Bas, il écrit de nombreuses contributions sur la révolution espagnole et sur l’anarchisme contemporain[1].
De 1961 à 1964, il aide son père à publier la revue anarcho-syndicalisteBuiten de perken (En dehors des bornes)[1].
En mars 1965 à Amsterdam, il est, avec notamment Roel van Duijn(nl), dans la dizaine de jeunes étudiants et travailleurs à l'origine du mouvement Provo[5], premier mouvement de la jeunesse anarchiste et contestataire qui, à partir de 1968, s'étend à la plupart des pays développées[6].
L’Anarchisme après le chute du mur de Berlin, in La Culture libertaire : actes du colloque de Grenoble, , Lyon, Atelier de création libertaire, 1997, CGECAF.
L'AIT de Berlin, de 1922 à la Révolution espagnole, in De l’Histoire du mouvement ouvrier révolutionnaire : actes du colloque international « Pour un autre futur », Paris, Éditions CNT-RP, Nautilus, 2001, CGECAF.
Quelques remarques générales sur l'anarchisme, “les juifs”, le sionisme et l'antisémitisme, avec quelques informations concrètes sur les Pays-Bas, Ni patrie, ni frontières, n°8-9, .
↑ abc et dRudolf de Jong, Réflexions sur l'antisémitisme dans le débat anarchiste, dans Juifs et anarchistes. Histoire d’une rencontre, Paris, Editions de l'Éclat, « Bibliothèque des fondations », 2008, pp. 143-158, DOI10.3917/ecla.berto.2008.01.0143, lire en ligne.
↑ a et b(nl) HR, Rudolf de Jong, De AS, n°80, hiver 2012, page 1.
↑Rédaction, Il y a 50 ans, les Provos - Ré-improvisons la lutte, Lundi Matin, 29 juin 2015, [lire en ligne].
↑Le Million - L'encyclopédie de tous les pays du monde, vol. III "Europe", éd. Grange Batelière (Paris), Kister S.A. (Genève), Agence belge des grandes éditions (Bruxelles), 1970