Les effets secondaires reconnus incluent notamment l'apparition de somnolence mais aussi la possibilité d'achat compulsif, d'addiction aux jeux, de comportement marginal à l'encontre de ses inhibitions, hypersexualité, voire comportement suicidaire. Ces troubles du comportement communs aux différents médicaments anti-parkinsoniens ont été reconnus tardivement par les laboratoires[2],[3].
Devant cette situation, la Haute Autorité de santé (HAS) a estimé le qu'elle ne pouvait donner un avis favorable au maintien de ces médicaments au remboursement en France[4],[5].