Ce film est sur les errances d'un jeune homosexuel à travers Rome.
Analyse
Un texte est lu en voix off pendant que des images de Rome passent à l'écran sans connexion apparente avec le texte, ce n'est qu'à la fin du film qu'on comprend qu'il n'y a réellement aucun rapport, l'auteur se veut précurseur d'un art conceptuel déstabilisant (selon ses propres mots[réf. souhaitée]).
Réception critique
Gérard Lefort dans le quotidien Libération y voit un « grand film minoritaire »[1].
Références
↑Gérard Lefort, « Vincent Dieutre, portrait mélancolique d'un cinéaste en ville », Libération, (lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
Vincent Dieutre, « « Et plus si affinités... » : le trick comme figure de la modernité au cinéma : Rome désolée (Vincent Dieutre, 1996) », dans Jacques Aumont (dir.), La rencontre, Presses universitaires de Rennes, (ISBN9782753526921, lire en ligne), p. 37-55