La revue d’architecture portoricaine Urbe lui remet un prix d’Architecture des édifices de bureaux et commerces en [4], pour le projet de la tour de bureaux Avianca située au 1612, avenue Juan-Ponce-de-León(es) à Santurce[5]. La même revue lui a précédemment consacré un article en [6], qui présente divers de ses projets, réalisés ou non.
L’un de ses immeubles à Río Piedras, nommé San Antonio, est donné comme exemple des transformations à moyen terme des architectures modernes par la revue Entorno[7]. Sa barre d’immeuble Surfside Mansions à Carolina est principalement connue pour sa mosaïque Neptune et la sirène de l’artiste portoricain Augusto Marín (1921-2011)[8].
Notes et références
Notes
↑Le nom de Rodolfo Fernández-Ramírez comporte bien un trait d’union[1], même s’il est souvent graphié sans.
↑ a et b(es) AARC 4 (actes du Congrès international d’architecture religieuse contemporaine, tenu à Puebla au Mexique du au ), (lire en ligne), chapitre « Santuarios postconciliares en construcción » (« Sanctuaires post-conciliaires en construction »), paragraphe « Puerto Rico » (« Porto Rico »), p. 151.
↑(es) « Premio a la Arquitectura de Edificios para Oficinas y Comercios », Urbe, no 33, , supplément spécial, p. 42-43 (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) « La labor del arquitecto Rodolfo Fernández Ramírez » [« Le Travail de l’architecte Rodolfo Fernández-Ramírez »], Urbe, no 5, , p. 10-19 (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) Santiago Gala Aguilera, « Caput Modern : Iconoclasia y desintegración del pasado reciente o Cinco maneras aceleradas de destruir la Arquitectura Moderna » [« Iconoclasme et désintégration du passé récent ou Cinq façons accélérées de détruire l’architecture moderne »], Entorno, Collège des Architectes et Architectes paysagistes de Porto Rico (CAAPPR), no 7, , p. 47 (lire en ligne, consulté le ).