L'évêque qui succède en 1209 ou 1210 à Hugues de Lédignan au siège épiscopal de Nîmes est d'abord simplement désigné par l'initiale de son nom suivie de son titre : « R. évêque de Nîmes ». Léon Ménard l'identifie avec Rodolfe de Nîmes auteur d'une somme sur les sacrements[2].
L'évêque Rodolfe rétablit en 1210 la paix dans Nîmes, assisté de quatre arbitres qu'il choisit[2]. En septembre, il préside à Saint-Gilles avec le légat du pape un concile qui refuse les justifications de Raymond VI de Toulouse[3].