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Né le [1] à Alger[2], Robert Zarader fait ses débuts en politique comme militant anarchiste[3]. Docteur ès sciences économiques (1982)[4], il devient directeur du Centre de recherche en économie industrielle[3], puis chargé du développement et de la diversification à la SARI[5]. Créateur en 1992 de l'agence Edra[6], trésorier, puis secrétaire général du Cercle des économistes, il fonde Equancy&Co en 2008[5].
En 1988, il rencontre François Hollande par l'entremise de Julien Dray[7],[8]. Il est son proche conseiller durant sa campagne présidentielle de 2012 : il invente la formule du « président normal »[3]. Il continue à l'assister durant son quinquennat (2012-2017)[9], et le pousse en 2014 à nommer Gaspard Gantzer dans son cabinet, en remplacement d'Aquilino Morelle[3].
Après sa renonciation à se représenter lors de l'élection présidentielle de 2017, il apporte son soutien à Emmanuel Macron[9]. Il serait à l'origine de son slogan « la France en marche »[10]. Dans le même temps, il lance le cercle de réflexion Valeur(s) Culture[6].
Il prend publiquement ses distances avec Emmanuel Macron dans une tribune au Monde en 2024 qu'il co-signe avec le consultant Noé Girardot-Champsaur. Ils y qualifient Emmanuel Macron de "spectateur du sablier" et étrillent sa stratégie de communication qui « transforme le coup d’éclat permanent en bruit médiatique épuisant » et « ne provoque plus qu’un sentiment de mépris et de déconnexion »[11],[12]
Robert Zarader est le président de l'agence de communication Bona Fidé.
↑Sous la dir. de Jean-Hervé Lorenzi, Crise et mutation du système de santé (thèse de 3e cycle ès sciences économiques), Paris, université Paris-XIII, , 247 p. (SUDOC041141598).
↑« Robert Zarader et Noé Girardot-Champsaur, consultants : « L’ancien maître des horloges est devenu le spectateur du sablier » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )