Il témoigne dans de nombreuses chartes, à la fin du règne d'Henri Ier, comme chapelain royal[1],[3]. Il assiste au concile tenu par Étienne en 1136. Il confirme la donation pour la fondation de l'abbaye de la Trappe à Soligny, dont il dédie la chapelle à la Sainte-Trinité peu avant sa mort[2].
Il possédait des biens en Angleterre. Le Monasticum anglicanorum dit qu'il donne terres, églises, dîmes et autres biens à l'église de Norwich[2].
Il meurt le et il est inhumé à l'abbaye du Bec, où avaient pris l'habit son père et son frère[1].
↑ abc et dPierre Bouet et François Neveux, Les évêques normands du XIe siècle : Colloque de Cerisy-la-Salle (30 septembre - 3 octobre 1993), Caen, Presses universitaires de Caen, , 330 p. (ISBN2-84133-021-4), « Les évêques normands de 985 à 1150 », p. 19-35
↑ ab et cAbbé Desroches, Histoire du Mont-Saint-Michel et de l'ancien diocèse d'Avranches, Chez Mancel, Caen, 1838, p. 292-295.
↑ ab et cH. E. J. Cowdrey, « William (fl. 1085–1091) », Oxford Dictionary of National Biography, Oxford University Press, 2004.