Richard Ali est compté parmi les 39 écrivains subsahariens ayant moins de 40 ans de l'AnthologieAfrica39 préfacée par Wole Soyinka. Œuvrant pour la défense et la promotion des langues congolaises, surtout pour la production d’une littérature dans ces langues, il écrit en Lingala et en français, et parrainé par Ngũgĩ wa Thiong’o, son roman publié aux éditions Mabiki écrit entièrement en lingala est traduit en anglais[2],[3],[4].
(en) Richard Ali A Mutu, Mr Fix-it : traduction anglaise de Ebamba, Kinshasa, éditions Phoneme media, , 108 p. (ISBN978-1944700072).
Richard Ali A Mutu, Le Cauchemardesque de Tabu : recueil des nouvelles, Kinshasa – Wavre, éditions Mabiki(ln), , 64 p. (ISBN978-2930369631).
Richard Ali A Mutu, Le Cauchemardesque de Tabu avec bière fracassée : recueil des nouvelles, Kinshasa, éditions Mediaspaul, , 110 p. (ISBN9782741408956).
Richard Ali A Mutu, Ebamba, Kinshasa-Makambo : lisolo, Kinshasa – Wavre, éditions Mabiki, , 180 p. (ISBN9782930369716) (Contribution importante de Bienvenu Sene Mongaba[8]).
(ln) Richard Ali A Mutu, Okozonga Maboko Pamba, Kinshasa – Wavre, éditions Mabiki, (ISBN978-2-930369-22-8).
(ln + fr) Richard Ali A Mutu, Ebamba, Kinshasa – Makambo : version bilingue, Kinshasa – Wavre, éditions Mabiki, , 180 p. (ISBN978-2-930999-49-4).
Max Lobe et Richard Ali A Mutu, Génève – Kin 2020 la Correspondance : roman collectif, Lagrasse, éditions BSN Press, , 132 p. (ISBN978-2-940648-20-7).
Richard Ali A Mutu, Et les portes sont de bouches !, Kinshasa, éditions Mabiki, , 261 p. (ISBN978-2-930999-48-7).
Notes et références
↑par Danny, « Richard Ali », sur CultureCongo, (consulté le )