Lieutenant de louveterie dans l'Ardèche, fut élu comme royaliste, le , député de ce département, au grand collège. Il siégea dans la majorité de la Chambre introuvable, et fut réélu, le ; il reprit sa place au côté droit avec lequel il vota en toute circonstance.
Dans la session de 1818-19, il proposa et développa divers amendements intéressant les manufactures et le commerce. Il obtint encore sa réélection, le , dans le premier arrondissement de l'Ardèche, continua d'opiner avec la droite, notamment pour les lois d'exception, et soutint le ministère Villèle.