Villes nouvelles de Mourenx vers 1960, avec Philippe Douillet, J. Maneval, de Mont-Saint-Aignan (Seine-Maritime);
quartier et église de Bagatelle, facultés des sciences de Bordeaux en 1952-54 et de Paris (sur l'emplacement de la Halle aux Vins) Université Paris VII Denis Diderot en 1958-64, avec Édouard Albert, Roger Seassal, Louis Madeline et Urbain Cassan;
Trésorerie générale à Angers, Maine-et-Loire, vers 1959 avec O. Caplain;
succursale de la Caisse des Dépôts et Consignations à Angers en 1964;
bureaux, bâtiments et restaurants de la Caisse des Dépôts à Arcueil (Val-de-Marne) en 1960;
lycée Jehan-Ango à Dieppe (Seine-Maritime) en 1960, avec R. Masson;
logements au Kremlin Bicêtre (Val-de-Marne) en 1960, avec Douillet et Allaeys;
École des Hautes Études Commerciales (H.E.C.) à Jouy-en-Josas (Yvelines) en 1964, avec les architectes Boisseson, Dumas, Bernard Delaye, Paul Durufle et le paysagiste Robert Joffet[12]. En tant qu'architecte en chef, deux édifices administratifs, inaugurés le 7 novembre 1966 :
Caisse d’allocations familiales de Dieppe (Seine-Maritime) [13] ;
Mairie de Dieppe [13], inaugurée le 1er décembre 1966;
hôtel Méridien, Porte Maillot, Paris 16è, en 1970; pendant cet immense chantier, il utilise notamment les services du sculpteur et décorateur Yves Millecamps;
hôtel Sofitel Bourbon à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) en 1970.
↑Christian Hottin, « Jussieu, l'inachevée : cinquante ans de projets pour la « faculté des sciences de Paris-centre » », Livraisons d'histoire de l'architecture, vol. 13, no 1, , p. 23–50 (ISSN1627-4970, DOI10.3406/lha.2007.1067, lire en ligne, consulté le )
↑« L'architecture de Jussieu », Le Saprophyte, le journal de Paris VII, , p. 6 :
« C'est sensationnel, construire en plein Paris, dans un terrain qui n'a pas bougé, avec une œuvre à faire, comme ça, pour l'enseignement, la jeunesse et la science. C'est formidable, formidable ! Je vous assure qu'on s'est beaucoup excité sur la question. »
↑« L'architecture de Jussieu », Le Saprophyte, le journal de Paris VII, , p. 7 :
« On ne peut pas considérer de la même façon des tours de mètres carrés de bureaux commerciaux ou d'habitations et une tour comme celle de la Fac des sciences qui avait dans le paysage parisien une valeur de symbole. C'était un signal comme un clocher, un beffroi, c'était l'Université française. »