Au cours des années 1950-1960, Raynor Johnson publie plusieurs livres, tant sur le mysticisme, que sur les recherches menées dans le domaine de la parapsychologie ; son intérêt et ses écrits sur l’ésotérisme finissent par susciter de vives inquiétudes au sein même de l’Église méthodiste[3].
En 1964, il démissionne de son poste universitaire.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
NB : Les titres d’ouvrages figurant ci-dessous, bien que traduits en français, se réfèrent néanmoins — pour la plupart — à des écrits publiés en langue anglaise.
Spectra. 1928 (Methuen : Londres).
Spectra atomique. 1946 (Methuen : Londres).
Introduction au Spectra moléculaire. 1949 (Methuen: Londres).
La splendeur emprisonnée ; une approche de la réalité, fondée sur la signification des données issues des domaines afférents aux sciences naturelles, à la recherche psychique et à l’expérience mystique. 1953 (Hodder & Stoughton : Londres) ; nouvelle édition 1989 (Pelegrin Trust, en collaboration avec Pilgrim Livres : Tasburgh, Norwich) (ISBN0-946259-30-5).
La recherche psychique. 1955 (Press Universities : Londres).
Les nourrissons de l’immortalité. 1957 (Hodder & Stoughton : Londres) ; nouvelle édition 1989 (Pelegrin Trust en collaboration avec Pilgrim Books : Tasburgh, Norwich) (ISBN0-946259-43-7).
Visualisation des cimes. 1959 (Hodder & Stoughton: Londres); nouvelle édition 1988 (Pelegrin Trust, en collaboration avec Pilgrim Books : Tasburgh, Norwich) ; (ISBN0-946259-28-3).
Desseins religieux pour l’homme moderne. 1963. (Hodder & Stoughton: Londres) ; nouvelle édition 1988 (Pelegrin Trust, en collaboration avec Pilgrim Books : Tasburgh, Norwich) ; (ISBN0-946259-27-5).
La lumière et le portail. 1964 (Hodder & Stoughton : Londres) ; (ISBN0-340-01214-5).
Une ondée de fraîcheur, destinée à alléger le fardeau des pèlerins en quête de sens spirituel. 1975 (Hodder & Stoughton : Londres) ; (ISBN0-340-19247-X).
Une lumière, génératrice de vie : nouvelle approche existentielle, en deçà des horizons philosophiques ou spirituels. 1984 (Livres Pilgrim : Tasburgh, Norwich) ; (ISBN0-946259-07-0).
Notes et références
Notes
NB : À l’exception de quelques notes additionnelles (assorties à la présente adaptation française), la majeure partie des références et liens figurant ci-dessous — bien que traduits en français — se réfèrent néanmoins, pour la plupart, à des écrits publiés en langue anglaise.
↑ a et bSantiniketan est le nom donné par le père de Rabindranath Tagore à une ville qu'il a créée en Inde et que son fils a rendue célèbre.
↑ : au cours d’une émission hebdomadaire – « Mise au Point[6] » – diffusée par la Télévision suisse romande, Julian Assange évoque son enfance, ainsi que les constantes pérégrinations qui l’ont amené – lui-même, sa mère et son demi-frère – à devoir fuir ce qu’il appelle : « La secte d’Anne Hamilton-Byrne[7],[6] ».
↑Aux alentours du minutage 10:57 de cette interview télévisée[8], Julian Assange déclare : « Ma mère vivait avec le fils supposé d’Anne Hamilton-Byrne, de la secte du même nom, en Australie... on était en permanence pourchassés... sans doute à cause des problèmes liés au système de sécurité sociale... on devait souvent rapidement changer de ville... et même changer de nom. »
↑Le 14 août 1987, un raid policier eut lieu contre le centre Kia Lama (propriété rurale, sise au bord du lac Eildon, en Australie), afin de procéder à la libération de plusieurs enfants qui avaient été enlevés à leur naissance, puis adoptés frauduleusement et séquestrés, voués à vivre en vase clos, en sus d'être victimes d'abus et de maltraitances[10],[11],[12].
↑L’appellation The Family ne désigne pas ici le mouvement spirituel controversé : Famille (en anglais : Family ) ex Enfants de Dieu) (Family (ex children of God) – également répertorié sous d’autres appellations telles que : Famille d’amour (« Family of Love ») et, désormais : Famille internationale (Family International) –, secte fondée par l’autoproclamé feu « prophète » David Brandt Berg (décédé en 1978), connu de ses adeptes sous le nom de Moïse-David (Moses-David), voire MO.
↑Elias, D. & Ryle, G. (1994) : « Les enfants prisonniers de la secte recouvrent la liberté, certes... mais quel avenir peut-il encore leur être offert ? » – The Age, 23 septembre 1994.