Consul-maire et avocat à Marvejols, il est élu député aux États du Languedoc. Raymond Sévène est plus tard élu, le , député de la Lozère à l'Assemblée législative, à la pluralité des voix, le 4e sur 5 élus[1]. Il participe peu aux débats, et ne paraît qu'une fois à la tribune, pour faire décréter l'accusation de Charrier[1]. Il appartient au groupe de la majorité réformatrice ; son mandat s'achève le [2].