Il meurt le des complications du sida, non sans avoir livré des interprétations magistrales d’Iberia d'Albeniz et des concertos de Rachmaninov.
Hommages
En 1986, Cordoue récompensa Orozco de la médaille d'or de la ville et du titre d'Hijo Predilecto (Fils préféré)[1].
Le Conservatoire supérieur de musique Rafael Orozco à Cordoue est baptisé en son honneur[4].
Bibliographie
(es) Juan Miguel Moreno Calderón, Rafael Orozco. El piano vibrante Almuzara, , (ISBN978-8416392711)
Références
↑ a et b(en) Juan Miguel Moreno Calderón, Director del Conservatorio Superior de Música Rafael Orozco, « Diez Años sin Rafael Orozco (Ten Years without Rafael Orozco) », Córdoba (Diario Córdoba), (lire en ligne [html])
↑(en) Peter Bithell, « Obituary: Rafael Orozco. », The Independent (résumé sur highbeam.com), (lire en ligne [html])