La révision instaure par ailleurs une limite à deux mandats présidentiels consécutif, mais cette limite ne prend pas en compte les mandats précédents. Est également créé le poste de vice-président, nommé par le président au sein de son parti. En cas d'incapacité du président, le vice président le remplace et mène son mandat à terme[1]. Ce dernier point prépare ainsi la succession dynastique au poste de chef de l’État, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo préparant celle ci en faveur de son fils, Teodoro Nguema Obiang Mangue, qui devient par la suite vice-président[3].