Œuvre d'un seul mouvement d'une écriture complexe, recherchée et spirituellement inspiré sans aucune référence au folklore slave, l'accueil fut mouvementé ; le compositeur confia : « mon deuxième quatuor est de la musique pure [...] le public à Prague et ailleurs a été aveuglé par la violence de ce langage. En Allemagne on m'a traité d'anarchiste, un anarchiste aussi terrible que Schoenberg. En 1912 à Berlin d'un côté des acquiescements, de l'autre des cris de honte et des sifflets ».