Il se présente comme un faux documentaire dédié à un jeune homme mort d'une overdose et dont le parcours est reconstitué à partir des témoignages de son entourage et de quelques habitants du quartier déshérité de Baltimore où il a vécu. Le film commence par des interviews des proches du jeune homme, réunis pour son enterrement[1].
Caractéristiques
Le film a été tourné avec une caméra HD Panasonic, en douze jours[2]. La mise en scène est très simple et semble articulée autour de la musique[1].
La première de Putty Hill a été organisée au Berlin Film Festival. Il a été bien accueilli par la critique européenne et américaine[4], et est sélectionné dans de nombreux festivals[1]. Il reçoit ainsi le grand prix du jury au Festival international du film de La Roche-sur-Yon. Le critique américain Roger Ebert lui décerne quatre étoiles sur 4[5]. La sortie en France en a été discrète et a été suivie de la publication d'un DVD en [6]. Le film y bénéficie toutefois d'un accueil critique favorable : l'hebdomadaireTélérama[7], le webzine Critikat[8] ou encore le blog Il a osé ![9] font de Putty Hill une œuvre intéressante révélatrice d'un cinéaste indépendant américain prometteur et singulier.
Notes et références
Notes
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Putty Hill » (voir la liste des auteurs).