H302 : Nocif en cas d'ingestion H341 : Susceptible d'induire des anomalies génétiques (indiquer la voie d'exposition s'il est formellement prouvé qu'aucune autre voie d'exposition ne conduit au même danger) H350 : Peut provoquer le cancer (indiquer la voie d'exposition s'il est formellement prouvé qu'aucune autre voie d'exposition ne conduit au même danger) H360 : Peut nuire à la fertilité ou au fœtus (indiquer l'effet s'il est connu)(indiquer la voie d'exposition s'il est formellement prouvé qu'aucune autre voie d'exposition ne conduit au même danger) P201 : Se procurer les instructions avant utilisation. P281 : Utiliser l’équipement de protection individuel requis. P308+P313 : En cas d’exposition prouvée ou suspectée : consulter un médecin.
Le traitement du lymphome de Hodgkin fait souvent intervenir la procarbazine dans le cadre du protocole BEACOPP(en), lequel comprend la bléomycine, l'étoposide, la doxorubicine (adriamycine), le cyclophosphamide, la vincristine (oncovin), la prednisone et la procarbazine. La première association de chimiothérapies pour traiter le lymphome de Hodgkin faisait également intervenir la procarbazine dans le cadre du protocole MOPP(en), qui comprenait la chlorméthine (méchloréthamine), la vincristine (oncovin), la prednisone et la procarbazine. Par ailleurs, lorsqu'elle est utilisée dans la prise en charge de certains cancers du cerveau tels que les gliomes malins, elle est souvent associée à la lomustine et à la vincristine (association appelée PCV).