Raymond d'Aguilers (Raymundus de Agiles), chanoine du Puy et chapelain du comte de Toulouse, Raymond de Saint-Gilles, présente son récit comme ayant été écrit avec Pons de Balazuc[4] (Baladuno) : « A mon seigneur l'évêque du Vivarais, et à tous les hommes orthodoxes, Pons de Balazun et Raimond, chanoine du Puy, salut et participation à tous nos travaux ! » ou encore « Il y avait l'évêque d'Orange, Raimond chapelain du comte, qui écrit cette histoire, le comte lui-même, Pons de Balazun et Ferrand de Thouars »[5]
Pons de Balazuc prend part à l'attaque de Ma'arra en , puis le siège d'Arga[5], durant 3 mois à partir du . Pons de Balazuc meurt au cours de ce siège, « Pons de Balazun mourut donc, ainsi que je l'ai déjà dit, dans le sein du Seigneur, devant le château d'Archas […] Là fut tué le seigneur Pons de Balazun par une pierre lancée d'une machine »[5].
Hommage
Les verrières de la nouvelle église Sainte-Madeleine perpétuent son souvenir[1].
Claude Cahen, La Syrie du nord à l’époque des croisades et la principauté franque d’Antioche, Paris, Geuthner, , 768 p. (édition numérique, 2014, lire en ligne).
Abbé Louis Fillet, Un chevalier du Vivarais à la première croisade, Pons de Balazuc, Privas, Imprimerie Centrale de l'Ardèche, , 8 p. (lire en ligne).
Léon Vedel, Maurice Allignol, Balazuc et Pons de Balazuc : une antique et puissante famille du Vivarais, , 77 p. (lire en ligne).
Presse
La Tribune / Le Journal Tournon-Tain, numéro 33, .