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Cette espèce a antérieurement aussi été nommée (ou confondu avec)[3] :
Plumatella fruticosa (Allman 1844)
Plumatella lucifuga (Jullien 1885)
Plumatella princeps var. fruticosa (Kraeplin 1887)
Plumatella lucifuga var. typica (Kafka 1887)
Plumatella princeps var. fruticosa (Davenport 1899)
Plumatella repens (Annandale 1907)
Plumatella emarginata (Loppens 1909)
Alcyonella fruticosa (Goddard 1909)
Plumatella emarginata var. fruticosa (Hartmeyer 1909)
Plumatella coralloides (Annandale 1911)
Plumatella princeps var. fruticosa (Pateff 1924)
Plumatella repens var. fruticosa (Rogerick 1934)
Plumatella repen var. fruticosa (Carl 1943)
Description, caractéristiques et identification taxonomique
Ce bryozoaire forme des clonies en forme de petites arborescences non rampantes. Les branches de la colonie sont brunâtre (ambre-brun à brun-jaunâtre ou brun-vert).
P. fruticosa ressemble fortement à Fredericella sultana[4], mais s'en distingue par des polypes en forme de fer à cheval[5]. À première vue le polype (à peine visible à l'œil nu) a une forme en massue. Les tentacules de la couronne du polype sont au nombre de 30 à 60[3].
Les zoïdes de cette espèce mesurent chacun environ 2 mm long, mais forme des colonies dont les ramifications régulières se développant plutôt « à plat », formant une sorte de petit tapis sur la surface du substrat dur colonisé. Une partie de la colonie peut être en libre suspension dans l'eau (sous une branche immergée par exemple).
Les branches de la colonies, notamment constituées de chitine sont régulières et largement réparties.
Si la surface du substrat est limitée, la croissance est plus « touffue ».
Les zooïdes-mères) qui sont à l'origine d'une colonie ou d'un embranchement produisent des individus filles qui formeront à leur tour de nouvelles "branches".
Selon Mundy[6], les colonies ne sont attachées au substrat qu'en un ou quelques points, les branches sont pour la plupart libres d'onduler dans le courant et la coupe des zooïdes montre un diamètre " triangulaires " (en coupe transversal). Le zooicum est fragile (sa membrane est fine).
Les critères les plus crédibles pour l'identifications sont la forme et structure des flottoblastes (statoblastes à anneau flottant) qui doivent être observés au microscope optique ou au microscope électronique.
Ces statoblastes sont visibles en transparence dans le corps (dans les « branches ») de l'animal lors de leur formation[3].
Les colonies de cette espèces peuvent, dans une eau assez eutrophe former des tapis dense, qui fixent eux-mêmes parfois des matières en suspension (pseudofèces de moules zébrées par exemple) ou des colonies de bactéries filamenteuses ou d'autres bryozoaires.
Il est fréquent que la fin d'une branche soit constituée ou précédée de deux polypes.
Notes et références
↑Massard, J. A., & Geimer, G. (2008). [Global diversity of bryozoans (Bryozoa or Ectoprocta) in freshwater: an update] ; Bulletin de la Société des naturalistes luxembourgeois, 109, 139-148
↑Bisby F.A., Roskov Y.R., Orrell T.M., Nicolson D., Paglinawan L.E., Bailly N., Kirk P.M., Bourgoin T., Baillargeon G., Ouvrard D. (red.), « Species 2000 & ITIS Catalogue of Life: 2011 Annual Checklist. », Species 2000: Reading, UK., (consulté le )
Mundy - Clé de détermination des bryozoaires anglais et européens
Wood II - Nouvelle clé de détermination des bryozoaires anglais, irlandais et d'Europe continentale (A new key to the freshwater bryozoans of Britain, Ireland and Continental Europe)