C'est Paul Divry, professeur de psychiatrie à l'Université de Liège (Belgique), qui identifia en 1927 ces plaques amyloïdes, qu'il nomme alors plaques séniles[1], grâce à des coupes microscopiques finement teintées qu'il avait l'habitude d'observer dans son laboratoire.
Plusieurs stratégies de thérapies sont envisagées en recherche, comme la création d'un vaccin anti-peptide Aβ, l'augmentation de l'activité de l'enzyme impliquée dans le clivage physiologique de la protéine précurseur de l'amyloïde, ou encore la diminution de l'activité de la β-sécrétase, à l'origine de la libération des bêta-amyloïdes.
Les plaques amyloïdes sont utilisées dans des recherches portant sur le déclin cognitif[2].