En 2013, elle réalise Le Pendule de Costel. Elle suit le quotidien de Costel, un rom du Nord-Ouest de la Roumanie et sa famille. À Marseille, celle-ci récupère des objets dans les poubelles, vit dans un squat. Pilar Arcila filme avec une caméra super 8 en noir et blanc[3]. Costel lui emprunte sa caméra vidéo et filme son quotidien[4]. Pilar Arcila intègre ses images dans son film, établissant ainsi une relation avec le sujet filmé[5].
↑Jonathan Larcher, « Formes vagabondes. Précarité du médium et pratiques filmiques vernaculaires en cinéma romani », Images Re-vues. Histoire, anthropologie et théorie de l'art, no 18, (ISSN1778-3801, DOI10.4000/imagesrevues.11350, lire en ligne, consulté le )