D'ailleurs, Aubry assista Dom Mocquereau en tant que musicologue, en soutenant la Paléographie musicale. Notamment, cet ancien élève de l'École des Chartes contribua à améliorer plus scientifiquement les études de Dom Mocquereau[3].
En 1900, il sort diplômé de l'École des langues orientales pour la langue arménienne. Après ses voyages dans le Caucase, l'Arménie et le Turkestan, il donne des conférences à Paris, en province et à l'étranger, écrit dans des revues spécialisées (Correspondant, Tribune de Saint-Gervais, Revue musicale, Bulletin de la S.I.M., etc...), et sort plusieurs livres[4].
↑« Pierre Aubry », sur l'encyclopédie Larousse (consulté le ).
↑ abcde et fDom Patrick Hala de l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes, Solesmes et les musiciens au tournant du 20e siècle, dans les Études grégoriennes, tome XXXVIII (2011) p.258 ; d'après Émile Dacier, "Pierre Aubry", Bibliothèque de l'École des chartes, 1910, vol.71, p.701-704 ainsi que Rémy Campos, "Philologie et sociologie de la musique au début du XXe siècle, Pierre Aubry et Jules Combarieu", dans la Revue d'histoire des sciences humaines, 2006, n°14, p.19-47
↑ a et bEmile Dacier, « Nécrologie Pierre Aubry (1874-1910) », Bibliothèque de l'école des chartes, tome 71. pp. 701-704, (lire en ligne)