Il se tourne alors vers le patron de presse Robert Hersant et devient vice-président directeur général du Figaro puis président de France-Soir[3]. En 1988, il participe à l'arrivée de Franz-Olivier Giesbert, « prise de guerre » du concurrent Le Nouvel Observateur. Il lance aussi de nombreux projets : création des pages économiques de couleur saumon, du Figaroscope et du Figaro Étudiant, portage à domicile et construction d'une imprimerie à Roissy. Il signe aussi des tribunes contre le franc fort et critique le Premier ministre Édouard Balladur, qui demandera en vain son départ. Il est cependant remercié en 1994 pour s'être, selon Le Monde, pris pour le patron du groupe de presse, Robert Hersant « lui rappel[ant] brutalement qu'il n'est qu'un employé »[1].
Il se met alors à son compte comme banquier d'affaires, conseillant également de nombreux patrons de grandes entreprises françaises[1].
Se constituant une collection art déco, il commence par ailleurs à assumer publiquement son homosexualité, si bien que M, le magazine du Monde le désigne comme « l’éminence gay des grands patrons »[4]. Il est en couple depuis le début des années 2000 avec un photographe.
En 2010, il convainc le président Nicolas Sarkozy de réaliser l'égalité fiscale pour les couples homosexuels, chose mise en place dans la loi de finances de l'année suivante. Il échoue cependant à l'amener à porter un projet de loi ouvrant le mariage et l'adoption aux couples de même sexe. En 2013, il soutient le projet de loi Taubira sur le même sujet[1].
Par ailleurs, il milite activement pour « faire exploser l'euro »[2],[1].
Avec Jacques Brian (préf. Henri Gevrey), Les Départements français : 84, Vaucluse, Provence-Alpes-Côte-d'Azur, Paris, La Documentation française, coll. « Notes et études documentaires » (no 4 475-4 476), (réimpr. 1981), 152 p. (BNF36646886)
« Saint-Guillaume », Le Gaspillage des élites : confessions d'un nomenklaturiste français, Paris, Robert Laffont-Bonnel, coll. « Libertés 2000 », , 184 p. (ISBN2-221-04569-6, BNF34762853)