Pexiora

Pexiora
Pexiora
L'église de Pexiora, édifiée au XIVe siècle.
Blason de Pexiora
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Carcassonne
Intercommunalité Communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère
Maire
Mandat
Serge Cazenave
2020-2026
Code postal 11150
Code commune 11281
Démographie
Gentilé Pexioranais
Population
municipale
1 253 hab. (2021 en évolution de −0,24 % par rapport à 2015)
Densité 95 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 16′ 09″ nord, 2° 02′ 15″ est
Altitude Min. 130 m
Max. 160 m
Superficie 13,16 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Castelnaudary
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Piège au Razès
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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PexioraÉcouter, Puègsiuran en occitan, est une commune française située dans le nord-ouest du département de l'Aude, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le canal du Midi, le ruisseau de Tréboul, le ruisseau de la Fontaine de Besplas, le ruisseau de Mairevieille, le ruisseau de Mézeran. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Pexiora est une commune rurale qui compte 1 253 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Pexioranais et Pexioranaises.

Géographie

Commune de l'aire urbaine de Castelnaudary située dans le Lauragais. À son pied, coule le Tréboul.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Lasbordes, Laurabuc, Saint-Martin-Lalande, Villasavary et Villepinte.

Géologie et relief

Hydrographie

La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[2], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par le canal du Midi, le ruisseau de Tréboul, le ruisseau de la Fontaine de Besplas, le ruisseau de Mairevieille et le ruisseau de Mézeran, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[4],[Carte 1].

Le canal du Midi, d'une longueur totale de 239,8 km, est un canal de navigation à bief de partage qui relie Toulouse à la mer Méditerranée depuis le xviie siècle[5].

Le ruisseau de Tréboul, d'une longueur totale de 22,5 km, prend sa source dans la commune de Mas-Saintes-Puelles et s'écoule vers le sud-est. Il traverse la commune et se jette dans le Fresquel à Villepinte, après avoir traversé 7 communes[6].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Castelnaudary à 9 km à vol d'oiseau[9], est de 14,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 707,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[13] : les « gravières et plaine de Bram » (2 381 ha), couvrant 6 communes du département[14].

Urbanisme

Typologie

Au , Pexiora est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (97,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96 %), zones urbanisées (4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Pexiora est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pexiora.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 553 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 553 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Toponymie

Histoire

Le village au lever du jour. On reconnaît l'église et le château. En arrière-plan, le pic de Saint-Barthélémy.

C'est à partir du XIe siècle qu'apparaît Pexiora, point relais de la via Aquitania, entre Castelnaudary (Sostomagus) et Bram (Eburomagus). Le village prend forme autour d'une chapelle romane en ruines[23].

Pexiora échappe aux dévastations que commet le Prince noir en Languedoc en 1355, moyennant une rançon importante[23].

Les Hospitaliers

À proximité de la chapelle, les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem fondent vers 1102 une commanderie[24] ainsi qu'un hôpital. Vers 1134, est également créée une deuxième chapelle, dédiée à saint Jean-Baptiste patron de leur ordre[25]. Durant la croisade contre les Albigeois, les Hospitaliers tolèrent la présence des Cathares sur le territoire de la commanderie. L'enrichissement de la commanderie, lié aux dons de terres et de bêtes de différentes personnalités locales impliquées dans l'hérésie en est peut-être à l'origine.

La commanderie est à l'origine de la construction en 1245 et 1269, de deux moulins à vent. Ils sont à l'origine de la prospérité que connaîtra le village vers le XIIIe siècle. Sept autres moulins furent érigés plus tard, au cours des siècles[26].

C'est en 1348, lors de la Peste Noire, que l'église actuelle est édifiée, s'adossant à la chapelle dédiée à saint Jean-Baptiste et entraînant la disparition de la chapelle romane. Au XVIe siècle, des fortifications y sont ajoutées, et les rénovations du XIXe siècle lui donnent son aspect actuel[23].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Commune faisant partie de la communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère et du canton de la Piège au Razès (avant le redécoupage départemental de 2014, Pexiora faisait partie de l'ex-canton de Castelnaudary-Sud).

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2008 Danielle Rivals    
mars 2008 en cours Serge Cazenave DVG Vice-Président de la Communauté de communes Piège-Lauragais-Malepère
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28]. En 2021, la commune comptait 1 253 habitants[Note 3], en évolution de −0,24 % par rapport à 2015 (Aude : +2,47 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1131 1731 1741 2241 3261 2771 2961 2661 337
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3461 3201 1851 1741 1171 0881 1131 1141 091
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1001 1081 113908888858911801904
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8498547537517098149661 2541 235
2021 - - - - - - - -
1 253--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 463 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 1 131 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 490 [I 2] (19 240  dans le département[I 3]).

Emploi

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 4] 10,3 % 9 % 13,3 %
Département[I 5] 10,2 % 12,8 % 12,6 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 731 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3 % d'actifs (64,9 % ayant un emploi et 13,3 % de chômeurs) et 21,7 % d'inactifs[Note 5],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 7]. Elle compte 167 emplois en 2018, contre 162 en 2013 et 137 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 481, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,5 %[I 8].

Sur ces 481 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 90 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 88,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 4,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

98 établissements[Note 6] sont implantés à Pexiora au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 11].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 98
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
36 36,7 % (8,8 %)
Construction 10 10,2 % (14 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
20 20,4 % (32,3 %)
Activités immobilières 2 2 % (5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
11 11,2 % (13,3 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
8 8,2 % (13,2 %)
Autres activités de services 11 11,2 % (8,8 %)

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,7 % du nombre total d'établissements de la commune (36 sur les 98 entreprises implantées à Pexiora), contre 8,8 % au niveau départemental[I 12].

Entreprises

Les trois entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[31] :

  • Setab TRPT Besombes J & Fils, transports routiers de fret interurbains (296 k€)
  • Papoul Reparation, entretien et réparation de véhicules automobiles légers (290 k€)
  • Yves Izard - Travaux Agricoles, activités de soutien aux cultures (183 k€)

Agriculture

La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-ouest du département de l'Aude[32],[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 6].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 31 20 15 16
SAU[Note 9] (ha) 1 048 1266 1536 1715

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 31 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 20 en 2000 puis à 15 en 2010[34] et enfin à 16 en 2020[Carte 7], soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[35],[Carte 8]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 048 ha en 1988 à 1 715 ha en 2020[Carte 9]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 107 ha[34].

Enseignement

Pexiora fait partie de l'académie de Montpellier.

Culture

  • MJC de Pexiora.
  • médiathèque intercommunale.
  • "Les Joyeux Cantaires", chorale d'hommes.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Le monument aux morts, construit en mémoire des soldats morts pour la France durant la Première Guerre mondiale. Il fut inauguré le .
  • Le territoire du village est traversé par le canal du Midi. Son écluse est l'écluse de Tréboul, du nom de la rivière qui coule à proximité.
  • Trois des huit moulins à vent du village subsistent encore aujourd'hui. Deux sont ouverts au public et appartiennent à la commune. Le dernier est situé dans une propriété privée.
  • Église Saint-Blaise de Pexiora.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Pexiora Blason
D’or au mont de sinople sommé d’un créquier du même, au chef d’azur chargé de trois fleurs de lys du champ.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.


Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Pexiora » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles(PRA) dans l’Aude », sur aude.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

Autres sources

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Découpage en régions hydrographiques », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  3. « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Pexiora », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « le canal du Midi »
  6. Sandre, « le ruisseau de Tréboul »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Pexiora et Castelnaudary », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Castelnaudary » (commune de Castelnaudary) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Castelnaudary » (commune de Castelnaudary) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Pexiora », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF les « gravières et plaine de Bram » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castelnaudary », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « Les risques près de chez moi - commune de Pexiora », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Aude », sur aude.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. a b et c « Histoire de Pexiora et de son église », Guide des Journées du Patrimoine à Pexiora,‎ date inconnue
  24. « Chapelle de la commanderie de Puysubran, église paroissiale Saint-Blaise », sur base Mérimée.
  25. « chapelle de la commanderie de Puysubran, église paroissiale Saint-Blaise », sur base Mérimée.
  26. « Les moulins de Pexiora », Guide des Journées du Patrimoine à Pexiora,‎ date non indiquée
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Entreprises à Pexiora », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  32. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  33. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  34. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Pexiora - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aude » (consulté le ).