En 1975, il rentre au Cameroun et entame une vie professionnelle, en occupant un poste de chef de service du contrôle du fret maritime au Conseil national des chargeurs du Cameroun (CNCC) et écrit de nombreuses œuvres[3],[1].
Publications
Patrice Ndedi Penda est l'auteur des œuvres suivantes[4].
Patrice Ndedi Penda, Le fusil, Paris, ORTF, (réimpr. 1971 et 1973), 140 p. (présentation en ligne).
Patrice Ndedi Penda, La corbeille d'ignames, Yaoundé, Éditions Clé, , 61 p. (OCLC963438532).
Patrice Ndedi Penda, La nasse, Yaoundé, Éditions Clé, , 154 p. (OCLC1070079105).
Patrice Ndedi Penda, Le caméléon : suivi de Les épouses stériles, Yaoundé, Éditions Clé, (réimpr. 1988), 116 p. (ISBN978-2723500531).
Patrice Ndedi Penda, Des milliards en fumée, t. 1, Douala, Publications Galaxie, (OCLC33849059).
Patrice Ndedi Penda, Le pouvoir aux deux visages : la terreur et la prospérité, Ahmadou Ahidjo, Douala, Publications Galaxie, , 77 p. (OCLC28977224).
Patrice Ndedi Penda, Des milliards en fumée, t. 2, Douala, Publications Galaxie, (OCLC33849059).
Patrice Ndedi Penda, Le commandement opérationnel : roman, t. 1, Douala, Publications Galaxie, (OCLC50041556).
Patrice Ndedi Penda, L'habit ne fait pas le moine, Douala, Publications Galaxie, , 99 p. (OCLC55081534).
Patrice Ndedi Penda, Le clan : la formation secrète d'une élite, Yaoundé, Éditions Clé, , 265 p. (OCLC73744875).
Patrice Ndedi Penda, Cameroun, les parrains de la corruption : comment ils paralysent les structures de lutte, Yaoundé, Éditions Clé, , 140 p. (ISBN978-9956090426).
Alain Eloka, « Le concours des réputations collectives aux perceptions d'(in)efficacité des organismes nationaux anti-corruption : exemples du Botswana et du Cameroun », Critique internationale, vol. 4, no 93, , p. 51-69 (ISSN1290-7839, lire en ligne, consulté le ).
Pierre Fandio, « Comment peut-on être écrivain camerounais... de langue anglaise ? », Africultures, vol. 3, no 60, , p. 46-54 (ISSN1276-2458, lire en ligne, consulté le ).