Après avoir obtenu un mastère en archéologie à l'université de Téhéran, Parviz Varjavand poursuivit ses études à Paris, à la Sorbonne, où il obtint un doctorat en « Restauration des monuments » et en « Architecture classique iranienne. »
Parviz Varjavand se battait pour le rétablissement de la démocratie en Iran. Alors qu'il était républicain, il écrivit dans un article publié en août 2006, en tant que porte-parole du Front national iranien, que la démocratie était compatible aussi bien avec une monarchie constitutionnelle qu'avec une République et que la question ne devrait pas être de choisir entre les deux régimes, mais de trouver les moyens de la rétablir[6]. C'était la première fois qu'un républicain exprimait une telle opinion en Iran.
Parviz Varjavand est mort d'une crise cardiaque le à l'âge de 73 ans. Ses funérailles, le 12 juin, rassemblèrent une foule immense et recueillie, qui l'accompagna jusqu'à sa dernière demeure, dans un cercueil recouvert du drapeau national porté sur les épaules par un groupe d'hommes, qui se relayèrent jusqu'au lieu de l'inhumation.
Publications
Archéologie et art de l'Iran (باستانشناسی و هنر ايران), Vezarat-e Farhang, Téhéran, 1989
La terre de Qazvin (سرزمين قزوين), Anjoman-e Asar va Mafakher-e Farhangi, Téhéran, 1995
Progrès et développement sur la base de l'identité culturelle (پيشرفت و توسعه بر بنياد هويت فرهنگی), Sherkat-e Sahami-ye Enteshar, Téhéran, 2000 (ISBN964-325-038-5)